Fort heureusement, la nature a poursuivi son cours pendant
le confinement.
Les plantes mellifères situées prés de la médiathèque se
sont beaucoup développées pendant l'hiver et en ce début de printemps.
Elisabeth a donc taillé la verveine toute sèche et dégingandée, et également le
chèvrefeuille qui commençait à prendre trop ses aises. Elle a également remis
un pied de bourrache et refait quelques pancartes défaites... Comme ça, ça fait
beaucoup plus joli !!!
Prés de l'école, les boutures d'osier pour confectionner la cabane vivante ont enfin bien démarré. Cette troisième tentative semble la bonne!
Avec ses jeunes pousses partant de partout, notre cabane a une allure toute hirsute et désordonnée.
Nous ne pourrons lui redonner sa forme définitive qu'une fois le développement des pousses terminé et lorsque ces dernières seront en bois. Peut-être en fin de printemps ou plus vraisemblablement, au cours de l'été. En attendant, il faut s'habituer à la voir sans forme . .
Photos et article: Elisabeth et Bernard.
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